Comment protéger son cerveau ?

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Comment protéger son cerveau


Quand on se coupe au doigt, il n’y a pas de douleur au bout du doigt. Ce sont les neurones du cortex cérébral qui traitent l’information et nous préviennent, par une sensation douloureuse, de la lésion au doigt. Et il en va ainsi des dysfonctionnements et des lésions de chacun de nos membres et de nos organes – le cerveau y compris. Interpréter la douleur n’est pas toujours simple, mais au moins sait-on qu’il y a un problème à régler ou un organe à surveiller.

En revanche, quand les neurones se dégradent et meurent, ils ne nous en informent pas et le font sans douleur. On en subit les conséquences sans en comprendre la cause. Pour prévenir la lente dégradation des neurones et leur mort certaine, autrement dit pour se protéger des maladies neurodégénératives, des mesures prophylactiques existent qui méritent d’être rappelées. Dans cet article, nous verrons comment protéger son cerveau

1. Faire travailler le cerveau

Bien que le cerveau ne soit pas à proprement parler un muscle, il a besoin d’être maintenu en forme, et ce sont les neurones qui lui donnent de l’exercice : se cultiver, s’occuper, multiplier ses centres d’intérêt lui permettent de lutter contre ce qu’il déteste le plus, à savoir la routine et l’ennui.

2. Manger sainement pour protéger son cerveau 

Dans la mesure du possible, privilégier les aliments pauvres en acides gras (fruits, légumes, féculents, céréales, produits laitiers allégés, huiles végétales, etc.) et riches en antioxydants (artichaut, poissons, cacao, fruits rouges, pomme, thé vert, café, etc.) qui ont un effet protecteur sur les neurones.

3. Fuir le stress

C’est évidemment plus facile à dire qu’à faire mais avoir une vie trop stressante n’est pas sans conséquences sur le cerveau. De nombreux travaux ont prouvé que le stress affecte l’hippocampe, siège de la mémoire et des émotions, qui peut s’atrophier – en découlent alors des pertes de mémoire et des troubles de l’attention.

 

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4. Éviter la solitude

 

 

 

 

Les répercussions de la solitude sur le cerveau commencent à peine à être connues, en particulier sur les personnes âgées. Il en ressort que les troubles cognitifs et la démence guettent davantage celles qui en souffrent que les autres. Les interactions sociales, en plus d’être indispensables au bien-être mental, permettraient ainsi de prévenir, sinon de retarder, la maladie d’Alzheimer. L'isolement dans lequel ont été tenues les personnes âgées dans les EHPAD lors de la crise du Covid leur a été particulièrement préjudiciable, et a aggravé les troubles cognitifs.

 

 

 

 

5. Faire du sport

 

 

 

 

Les bienfaits de l’activité physique sur le moral sont connus de longue date. La libération d’endorphines dans le cerveau a toujours fait le bonheur des sportifs, mais désormais des chercheurs pensent que l’effort musculaire participe aussi à la synthèse de la sérotonine, un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de l’humeur, de l’anxiété et du sommeil, dont les troubles provoquent la dégradation des neurones.

 

 

 

 

6. Bannir les somnifères pour protéger son cerveau

 

 

 

 

Ces petites pilules bien pratiques contre les difficultés d’endormissement ou l’insomnie bloquent l’activité de l’acétylcholine, un neurotransmetteur impliqué dans la mémoire et l’apprentissage. L’accoutumance aux somnifères favoriserait sur le long terme les risques de démence. Ainsi, les scientifiques s'accordent pour conseiller aux patients de ne pas abuser de ces cachets voir des bannir pour protéger votre cerveau

 

 

 

 

7. Vivre heureux 

 

 

 

 

Que des neuroscientifiques aient localisé le bonheur dans une aire spécifique du cerveau n’empêche pas que tout le cerveau en tire bénéfice. Toutes les activités qui rendent heureux – les voyages, le jardinage, le bricolage ou les activités artistiques – ont montré leur efficacité pour protéger le cerveau contre les maladies neurodégénératives du type maladie de Parkinson ou d’Alzheimer.

 

 

 

 

8. Prendre des compléments alimentaires

 

 

 

 

Puisqu’il est impossible de suivre rigoureusement toutes les mesures préventives et que de toute façon, ainsi que l’a écrit Peter Whitehouse, « nous finirions tous par avoir la maladie d’Alzheimer si nous vivions assez longtemps », Neuralia a mis au point une gamme de nootropiques personnalisés et innovants dont l’action neuroprotectrice ralentit l’inévitable dégradation des neurones.

 

 

 

 

Pour lutter contre le déclin cognitif et les pertes de mémoire, Neuralia a conçu NSP01, un extrait breveté à base d’huperzine A, d’acide caféique et d'acide férulique qui permet d’éviter les effets de l’âge sur les performances cognitives. Ensuite, plutôt que de prendre des somnifères à l’action nuisible sur les neurones, Neuralia a élaboré NSP06, un extrait unique tiré du romarin et de la verveine officinale qui non seulement les protège mais est aussi un complément alimentaire qui régule le sommeil. Enfin, NSP19 est un extrait innovant qui s’adresse aux femmes souhaitant soulager leur ménopause. La présence d’un phyto-œstrogène neuroprotecteur, la diosgénine, vient compenser les déficits hormonaux de cette période et soulager les désagréments liés à ce phénomène : irritabilité, saute d’humeur, bouffée de chaleur, perte de mémoire.

 

 

 

 

Que tôt ou tard l’activité cérébrale soit condamnée à décliner ne nous condamne pas à rester passif en attendant les bras croisés. Certes, la vie « idéale » qui remédierait à coup sûr à ce déclin n’existe pas ; cependant, l’avancée des recherches en neurologie laisse entrevoir des jours meilleurs et Neuralia a toujours à cœur d’y participer.

 

Produit associé :
– Complément alimentaire pour la mémoire

 

 

 


 

 

1 Le mythe de la maladie d’Alzheimer, Solal, 2010

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