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L’importance de la vitamine B12 (ou cobalamine) au bon fonctionnement du système neurologique est telle que cette allégation a été jugée recevable par l’Afssa (Agence française de sécurité sanitaire des aliments) quand bien même « il n’y a pas de risque d’insuffisance des apports [en vitamine B12] en population générale ». Les symptômes neurologiques d’une carence en vitamine B12 ne sont évidemment pas à négliger. Et l’Afssa de préciser, « les populations à risque de déficience sont les végétaliens et les personnes âgées fragiles. » Il faut savoir que la vitamine B12 participe aussi à d’autres processus physiologiques et biochimiques.
C’est pourquoi, les nutraceutiques Neuralia NSP01 vitamines pour la mémoire (contre le déclin cognitif et les pertes de mémoire) et NSP19 (contre les troubles liées à la ménopause) contiennent tous les deux les apports journaliers nécessaires en vitamine B12.
Comme le sous-entend l’Afssa, la carence en vitamine B12 est rarement due, dans nos sociétés occidentales, à un déficit d’apport alimentaire. Toutefois, sachant que les principales sources de vitamine B12 sont la viande et les abats, les poissons et crustacés, les œufs ou les produits laitiers, les végétaliens doivent faire attention et compenser cette absence d’apport par des compléments alimentaires, des céréales ou laits végétaux enrichis en vitamine B12.
Toujours est-il que l’absorption d’aliments riches en vitamines B12 ne garantit pas son métabolisme par l’organisme. Il est fréquent que des personnes âgées, même carnivores, aient une carence en vitamine B12. Sans rentrer dans les détails, plusieurs études ont démontré qu’avec l’âge les muqueuses de l’estomac ne dissociaient plus la vitamine B12 à cause de pathologies gastriques ou de médicaments, et que cette carence avait une incidence sur l’augmentation de l’homocystéine – un acide aminé qui entre dans la fabrication de plusieurs composés de la cellule et dont l’utilisation nécessite entre autres la vitamine B12.
De fait, dans plus de la majorité des cas, la carence est liée au syndrome de non-dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses, soit lors de la phase gastrique par diminution de la sécrétion acide, soit lors de la phase intestinale par insuffisance pancréatique exocrine.
Les causes de ce syndrome sont multiples : gastrite atrophique, insuffisance pancréatique, achlorhydrie gastrique (absence d’acide gastrique), bypass gastrique, gastrectomie, sans oublier certains médicaments contre le diabète de type 2 (les biguanides) ou les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) pris pour réduire la sécrétion d’acide gastrique et les remontées acides.
Des maladies auto-immunes – notamment la maladie de Biermer (ou anémie pernicieuse) qui résulte de l’absence de sécrétion d’une molécule indispensable au transport de la vitamine B12 dans l’intestin et à son passage dans le sang (molécule appelée facteur intrinsèque) – sont aussi responsables, dans près d’un tiers des cas, d’une carence en vitamine B12.
Ce n’est pas tout : des études d’observation ont trouvé un lien entre déficit en vitamine B12 et déclin des facultés cognitives chez les personnes âgées, toujours en lien avec une augmentation de l’homocystéine dans le sang, laquelle perturbe la synthèse de certains neurotransmetteurs.
Favorisant la formation de plaques d’athérome, un taux élevé d’homocystéine est pareillement un facteur de risque de maladies cardiovasculaires.
À la grande diversité des fonctions de la vitamine B12 répond évidemment une diversité des symptômes pouvant apparaître lors d’une carence, d’où la difficulté parfois de poser le bon diagnostic (aucun consensus étiologique n’existe de la carence en vitamine B12 et l’examen le plus fiable repose sur la concentration en acide méthylmalonique dans les urines).
Malgré les très faibles quantités nécessaires au bon fonctionnement du corps et du cerveau (environ 2,5 µg par jour), la vitamine B12 est sans conteste l’une des vitamines dont les répercussions, en cas de carence, sont aussi nombreuses que dissemblables : digestives (constipation, diarrhée, inflammation buccale ou phénomène de la langue enflée), psychiques (troubles de l’humeur), physiques (teint pâle ou jaunâtre, nausées, épuisement chronique causé par l’anémie), mais aussi neurologiques et nerveuses.
La démyélinisation des neurones et la synthèse chaotique des hormones et des neurotransmetteurs représentent un risque potentiellement grave pour le système nerveux central et périphérique.
Par exemple, la sclérose combinée de la moelle est souvent due à une carence en vitamine B12 qui fragilise les fibres nerveuses ou entraîne des lésions axonales. Cette maladie peut être une complication de la maladie de Biermer. Les lésions des nerfs périphériques (ou neuropathies périphériques) par carence en vitamine B12 sont responsables des fourmillements et engourdissement des membres et, quelquefois, d’une difficulté à marcher.
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Sur le système nerveux central, un déficit de vitamine B12 porte à conséquence : un sentiment d’apathie, un état dépressif, des pertes de mémoire passagères ou une mauvaise coordination du corps pouvant aboutir à des problèmes d’équilibre sont les premiers symptômes ressentis ; des états psychotiques ont même déjà été relevés. Mais à terme, une carence prolongée en vitamine B12 favorise l’apparition de maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer ou la sclérose en plaques (qui est une maladie auto-immune qui touche le système nerveux central). Comme on le voit, les symptômes neurologiques d’une carence en vitamine B12 sont graves.
Si tous ces troubles n’ont pas nécessairement pour cause un déficit en vitamine B12, il est toutefois recommandé à certains de faire des examens : les végétariens et végétaliens ; les personnes gériatriques, en raison d’une prévalence de gastrite atrophique chronique ; les personnes souffrant d’épigastralgies de longue date ; celles souffrant de maladies auto-immunes (thyroïdite, maladie de Basedow ou vitiligo) ; celles ayant des troubles intestinaux fréquents ; et enfin, les alcooliques.
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